Qui sommes-nous?

Bienvenue dans l’univers de Globejuris, la revue étudiante spécialisée en droit international public.

Globejuris est une revue juridique académique qui consacre ses réflexions à l’exploration et à l’analyse des questions contemporaines à travers le prisme du droit international public.

Dans un monde de plus en plus interconnecté, où les enjeux juridiques transcendent les frontières nationales, où le droit est constamment remis en question par des abus et des excès et où la violence semble remettre en question l’idéal kantien de paix perpétuelle autour duquel le droit international s’est construit, Globejuris s’affirme comme une plateforme intellectuelle dynamique, gérée par des jeunes juristes et chercheurs et destinée à tous les passionnés du droit, qui ne reculent point face à une progressive perte d’objectivité, mais qui, au contraire, croient fortement en l’existence d’un droit international au-delà de la volonté souveraine et souverainiste des États.

Le droit international, ensemble des normes juridiques régissant les relations entre les États et les organisations internationales, constitue aujourd’hui un levier essentiel dans la gestion des défis globaux. Les dernières années ont été marquées par des bouleversements d’une intensité exceptionnelle, tels que la pandémie du Covid-19, l’instabilité politique croissante dans le monde ou l’aggravation des conflits armés en Europe et en Asie… Ces chocs ont donné l’impression que le monde aurait vu plus de changements cruciaux au début de cette décennie que les vingt premières années de ce siècle. Face à ces crises, le droit international se positionne comme une réponse potentielle aux problématiques globales, bien qu’il suscite parfois davantage de questions que de solutions.

Inspirée par l’idée selon laquelle “Les lois des nations ne sont pas écrites dans la pierre, mais dans l’argile mouvante des intérêts et des rêves humains” (A. Gide), Globejuris a pour mission de fournir un espace de réflexion et de publication pour les étudiants et les jeunes professionnels intéressés par les questions internationales. Nous visons à encourager une pensée critique, une discussion approfondie sur les défis juridiques actuels et historiques, tels que les questions liées à la souveraineté, à la coopération, à la communauté d’États, aux sources du droit, au droit de la guerre comme au droit humanitaire et aux droits de l’homme, en passant en revue la doctrine, la jurisprudence, ainsi que le travail du juge international, dans un domaine où aucun législateur ne permet de centraliser le droit et son application, où aucune séparation des pouvoirs ne permet de garantir le respect du droit et sa sanction.

En publiant des articles, nous cherchons à enrichir le débat académique et à promouvoir un meilleur entendement des politiques mondiales et du droit censé les régir.

Globejuris se pose donc comme une voix étudiante, une revue entièrement gérée par des étudiants passionnés par le droit international, guidée par un comité de rédaction et de direction issu du domaine académique. Elle incarne donc un espace où étudiants et chercheurs peuvent publier et échanger leurs réflexions juridiques. Elle offre une opportunité unique pour les jeunes chercheurs de publier leurs travaux, d’acquérir de l’expérience et de bénéficier de l’encadrement de professionnels reconnus dans le domaine universitaire. À cette fin, Globejuris encourage la recherche interdisciplinaire et la collaboration entre étudiants provenant d’horizons différents, de formations juridiques et sociales distinctes.

Notre revue promeut non seulement des travaux académiques rigoureux, mais met également en lumière les talents émergents du monde du droit. Nous souhaitons nous positionner comme un acteur clé dans la sphère académique du droit international public.

Car chaque contribution a le potentiel de provoquer une réflexion et une discussion enrichissante, car nous croyons fortement en la richesse des idées nouvelles et des perspectives variées que la jeunesse peut apporter au monde, pour un monde meilleur.

“Les lois des nations ne sont pas écrites dans la pierre, mais dans l’argile mouvante des intérêts et des rêves humains” (A. Gide),